« Les jeudis à croquer », une initiative du Secours Catholique à Toulouse dans le cadre de la campagne pour les droits humains.
 

L’équipe d’animation de la solidarité internationale de la Délégation Ariège Garonne du Secours Catholique organise « Les jeudis à croquer », soirées de rencontres tous les deux mois avec projection de films suivis d’un débat.

Elargissant le thème du droit à l’alimentation, largement développé depuis trois ans, et celui des migrations, nous avons souhaité cette fois partir à la rencontre d’un village palestinien. L’occasion de parler des initiatives du Secours Catholique pour soutenir et accompagner les initiatives non violentes des sociétés civiles israélienne et palestinienne, visant à construire une culture de la paix. Notre Délégation et sa voisine du Tarn-Aveyron engagent en particulier un partenariat avec une Association d’Israël-Palestine travaillant au dialogue entre des communautés qui s’ignorent le plus souvent.

Une soirée de rencontre des « Jeudis à croquer » aura lieu :

le jeudi 15 mars 2018 à 19h à l’Ostalada,

avec la projection du film

« Les 18 fugitives »
un documentaire d’Amer Shomali et Paul Cowan,

suivie d’un débat animé par Martine Audras, Présidente de l’Association les amis de Jalboun-Palestine et l’équipe internationale du Secours Catholique

au Centre d’accueil de jour du Secours Catholique 
22 Place Arnaud Bernard, à Toulouse

Entrée libre à 19 h ; accueil à 19h15 ; film à 20h30 puis débat et collation
 

► Synopsis :

Beit Sahour, village des territoires occupés situé près de Bethléem, est le lieu d’une histoire singulière de désobéissance civile, au moment de la première intifada. La population achète 18 vaches dans un kibboutz pour développer la vente locale de lait, comme alternative aux produits israéliens. Le succès de la coopérative finit par attirer l’attention de l’armée israélienne, qui l’accuse d’attenter à la sécurité nationale. S’en suit un jeu du chat et de la souris, raconté par ces 18 héroïnes. Ce film retrace avec humour, intelligence et sincérité, une histoire nous permettant de mieux appréhender la réalité vécue dans les territoires occupés. Notre regard sur un conflit aux racines profondes se trouve éclairé par les visages de tous les protagonistes, qui ne cherchent qu’à vivre en paix, les uns avec les autres, dans le respect de leurs droits.