Mois de mai, mois de Marie

En ce mois de mai, prions Marie, notre mère à tous !

Très douce Vierge Marie,
nous voici dans le mois qui vous est plus particulièrement consacré,
et nous venons vous demander
la grâce de vous honorer, de vous aimer, de vous prier,
de vous imiter de toute notre âme :
c’est le moyen le plus sûr de plaire à notre Père céleste,
d’appartenir à Notre Seigneur Jésus Christ,
de demeurer dans la docilité au Saint-Esprit,
de conserver une fidélité inébranlable à la Sainte Église catholique.

Très douce Vierge Marie,
vous êtes la mère de notre foi :
c’est à vous que Dieu a confié cette lumière infiniment haute
qui fait participer notre intelligence aux mystères
que votre Fils nous a révélés.

Très douce Vierge Marie,
vous êtes la mère de la Sainte Espérance :
chaque jour, dégagez notre esprit
de l’attrait et de la fascination des choses d’ici-bas
pour l’établir dans le désir et la quête des biens éternels.
Chaque jour, délivrez-nous de la mortelle confiance en nous-mêmes,
pour nous faire placer cette confiance
dans la toute-puissance divine et dans votre bonté maternelle.

Très douce Vierge Marie,
vous êtes la mère du bel Amour,
la mère de l’infinie charité de Dieu incarné :
inspirez toutes nos pensées, toutes nos intentions,
tous nos désirs, toutes nos paroles, toutes nos actions.

Ainsi nous répondrons dignement à l’amour
que la Trinité Sainte nous porte dans son éternité bienheureuse.

Très douce Vierge Marie,
après l’hiver du péché,
soyez le printemps de notre vie.
Ainsi soit-il.

 


Actualité publiée le 2 mai 2017

 

 

Splendeur des lys de mai,
vous êtes notre reine,
l’aurore de nos yeux,
la paix de notre soir ;
et nous plaçons en vous
tous nos ciels bleu d’espoir,
nos rires et nos cœurs
et toute notre peine.

Nous cueillerons pour vous,
aimable souveraine,
des fleurs et des Ave
tout le long du chemin ;
et si l’ombre du soir
obscurcit le matin,
trouez d’or et d’azur
le mur de notre peine.

Blancheur des lys de mai,
Vierge belle et sereine ;
prenez-nous par la main
lorsque viendra le soir ;
prenez-nous par la main
le long de notre peine...