Célébrer en famille, à la maison, le 8 novembre 2020

Avec le service diocésain de la Pastorale Liturgique et Sacramentelle

Célébrer en famille, à la maison, le 8 novembre 2020


Si l’Église, dans ce contexte d’urgence sanitaire, nous a dispensés, pour un temps, de l’obligation de participer à la messe dominicale, demeure intacte l’obligation de sanctifier le Jour du Seigneur autrement. Comme lors du premier confinement, soyons inventifs ! Prenons le temps pour le Seigneur dans nos maisons. Trouvons différentes modalités de célébration de la Parole, comme cela se fait dans les régions où les chrétiens n’ont pas la possibilité de célébrer l’eucharistie pour différentes raisons. Que nos prières, en ce temps de confinement, nous mettent en communion avec eux. Puisse cette période de privation sacramentelle creuser en nous le désir de communier avec chaque jour au Christ présent dans l’Eucharistie et vivre de tous les sacrements qui transmettent et nous nourrissent en nous la vie divine.

***

Voici une proposition de célébration domestique pour ce dimanche 8 novembre, qui est le XXXII dimanche du temps Ordinaire, Année A. Puissent tous les saints, que nous avons célébrés dimanche dernier, nous entourer et nous venir en aide !

Certains parmi vous pourrons, peut-être, suivre la messe à la télévision sur les différentes chaînes. Vous pouvez aussi, si cela est possible sur votre ensemble paroissial, suivre la messe retransmise sur les différents réseaux sociaux de votre communauté paroissiale (voir ici). Cela nous permet de garder un lien de proximité par la dimension locale et paroissiale de la célébration, avec vos pasteurs qui souffrent en célébrant l’eucharistie, mais privés de votre présence. Vous pouvez leur envoyer vos intentions de prières. N’oubliez pas aussi la quête en ligne ; dont nos paroisses ont besoin en cette période difficile.

 

Comment s’y préparer ?

La veille de la célébration

La veille, la famille se réunit pour une concertation, pour fixer l’heure de la célébration et le rôle de chacun, permettant ainsi à chaque membre de la famille d’être prêt à l’heure convenue. Cela évitera peut-être des énervements pour réunir la famille. Vous pouvez choisir l’heure à laquelle vous participez ordinairement à la messe dominicale, ou une autre heure si vous voulez aussi la regarder à la télévision ou sur les réseaux sociaux en lien avec votre communauté paroissiale locale.

La veille encore, les lecteurs sont désignés.

On dresse un autel, qui sera plus solennel que le coin prière ordinaire, pour manifester la présence de Dieu. On peut orner cet autel avec des fleurs, ou avec des dessins d’enfants. Quelques images et objets du coin prière peuvent légitimement trouver leur place sur cet autel. On prévoit des chaises en nombre suffisant.

La prière universelle est préparée ensemble ou bien par un ou plusieurs membres de la famille dans la mesure du possible. La présente proposition vous en suggère une que vous pouvez adapter.

Enfin, on choisit des chants (un chant d’entrée, un refrain de psaume, une acclamation d’évangile, un refrain de prière universelle, un chant d’action de grâce, de louange ou d’abandon, un chant à la Vierge ou un autre chant d’envoi). Il est important de tout mettre en œuvre pour que cette liturgie domestique soit belle et joyeuse, et implique tous les membres de la famille. Tenons compte de la présence des enfants en leur accordant une attention particulière. On peut ainsi, si on a des compétences musicales, répéter les chants à l’unisson ou à plusieurs voix, ou les accompagner avec des instruments.
Celui ou celle (père ou mère) qui doit présider la célébration (l’officiant), prend connaissance du déroulement qui suit, afin que la prière se déroule paisiblement, et soit fructueuse pour tous. On s’adaptera à la situation de chaque famille.
On imprimera le déroulement suivant. On fera une feuille de chant ou on écrira les paroles sur un grand papier visible par tous. On imprimera ou on recopiera l’acte de communion spirituelle.

Le dimanche, à l’heure fixée

Il convient toujours de commencer cette prière par un temps de silence, ne serait-ce qu’une ou deux minutes, afin de reconnaître la présence de Dieu, car si Dieu est présent dans ces sacrements sur un mode privilégié, il est partout et particulièrement dans la famille, car où sont amour et charité, Dieu est présent. Jésus nous dit que « là où ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d’eux » (Mt 18, 20)
Il serait important qu’une bougie soit allumée.
Puis on suit, en l’adaptant si nécessaire, le schéma suivant. L’officiant anime la prière.

 

Célébration familiale du XXXII dimanche du temps ordinaire

Un temps de silence

Chant d’entrée :
Tout en vous suggérant plusieurs choix de chants, nous vous laissons la possibilité d’en choisir un autre. Nous pouvons les écouter sur YouTube et chanter en playback, surtout si vous n’avez pas de musiciens au sein de la petite assemblée familiale.

  • Tenons en éveil la mémoire du Seigneur, ici
  • Veillons jusqu’au jour, ici
  • Jubilez criez de joie, ici
  • Viens, saint Esprit viens, ici
  • J’attendrai, ici

Musiciens …………………………………………
Lancé………………………………………instruments

Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Amen.

L’Officiant peut dire les paroles suivantes, ou d’autres selon son inspiration.

Ce dimanche, nous ne pouvons nous rassembler avec toute l’Église pour participer à la messe. Cela nous manque de communier, de rencontrer nos prêtres et les membres de notre communauté paroissiale. Nous prions en communion avec eux, et avec tous ceux qui n’ont pas la chance de célébrer l’eucharistie partout dans le monde. Que les tous les saints, que nous avons célébrés dimanche dernier nous viennent en aide et nous soutiennent pour que nos cœurs et notre maison accueillent la grâce que Dieu. Nous voulons rester vigilants, à l’exemple des vierges prévoyantes qui nous sont données en exemple dans l’évangile de ce dimanche pour que la flamme, la lumière de notre baptême ne s’éteigne jamais malgré le confinement et la privation de l’eucharistie.
Ainsi, reconnaissons que nous sommes pécheurs et implorons le pardon de Dieu. Mais avant, reconnaissons nos péchés, et supplions Dieu de nous pardonner.

Après un bref moment de silence, on peut dire :

Je confesse à Dieu tout-puissant,
je reconnais devant mes frères
que j’ai péché en pensée, en parole,
par action et par omission.
Oui, J’ai vraiment péché.
C’est pourquoi je supplie
la bienheureuse Vierge Marie,
les anges et tous les saints,
et vous aussi mes frères,
de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.

Que Dieu tout-puissant nous fasse miséricorde, qu’il nous pardonne nos péchés et nous conduise à la vie éternelle. Amen

Kyrie et le Gloire à Dieu

Nous vous proposons ceux de la Messe de saint Boniface, ici

Prions le Seigneur :
Dieu qui es bon et tout-puissant, éloigne de nous tout ce qui nous arrête, afin que sans aucune entrave, ni d’esprit ni de corps, nous soyons libres pour accomplir ta volonté. Par Jésus le Christ Notre Seigneur.

Tous peuvent s’asseoir.

PREMIÈRE LECTURE

lue par……………………………….

Lecture du livre de la Sagesse (Sg 6, 12-16)

La Sagesse est resplendissante,
 elle ne se flétrit pas.
 Elle se laisse aisément contempler
par ceux qui l’aiment,
 elle se laisse trouver
 par ceux qui la cherchent.
 Elle devance leurs désirs
 en se faisant connaître la première.
 Celui qui la cherche dès l’aurore ne se fatiguera pas : 
il la trouvera assise à sa porte.
 Penser à elle est la perfection du discernement,
 et celui qui veille à cause d’elle
 sera bientôt délivré du souci.
 Elle va et vient
à la recherche de ceux qui sont dignes d’elle ;
 au détour des sentiers,
 elle leur apparaît avec un visage souriant ;
 dans chacune de leurs pensées,
 elle vient à leur rencontre.

 – Parole du Seigneur.

PSAUME 62 (63)
lu ou chanté par ………………………………….

R/ Mon âme a soif de toi,
Seigneur, mon Dieu ! (cf. Ps 62, 2b)

Dieu, tu es mon Dieu,
 
je te cherche dès l’aube :

mon âme a soif de toi ;

après toi languit ma chair,

terre aride, altérée, sans eau.

Je t’ai contemplé au sanctuaire,

j’ai vu ta force et ta gloire.

Ton amour vaut mieux que la vie :

tu seras la louange de mes lèvres !

Toute ma vie je vais te bénir,

lever les mains en invoquant ton nom.

Comme par un festin je serai rassasié ;

la joie sur les lèvres, je dirai ta louange.

Dans la nuit, je me souviens de toi

et je reste des heures à te parler.

Oui, tu es venu à mon secours : 

je crie de joie à l’ombre de tes ailes.
 

DEUXIÈME LECTURE (facultative)
« Ceux qui sont endormis, Dieu, par Jésus, les emmènera avec lui » (1 Th 4, 13-18)

Lecture de la première lettre de saint Paul apôtre aux Thessaloniciens

Frères,

nous ne voulons pas vous laisser dans l’ignorance
 au sujet de ceux qui se sont endormis dans la mort ;
 il ne faut pas que vous soyez abattus 
comme les autres, qui n’ont pas d’espérance.
 Jésus, nous le croyons, est mort et ressuscité ;
 de même, nous le croyons aussi, ceux qui se sont endormis,
 Dieu, par Jésus, les emmènera avec lui.
Car, sur la parole du Seigneur, nous vous déclarons ceci :
 nous les vivants,
 nous qui sommes encore là pour la venue du Seigneur,
 nous ne devancerons pas ceux qui se sont endormis.
 Au signal donné par la voix de l’archange, et par la trompette divine, 
le Seigneur lui-même descendra du ciel,
 et ceux qui sont morts dans le Christ
 ressusciteront d’abord.
 Ensuite, nous les vivants,
 nous qui sommes encore là,
 nous serons emportés sur les nuées du ciel,
 en même temps qu’eux,
 à la rencontre du Seigneur.
 Ainsi, nous serons pour toujours avec le Seigneur.
 Réconfortez-vous donc les uns les autres
 avec ce que je viens de dire.
 
– Parole du Seigneur.

Acclamation de l’Évangile
Alléluia

Entonné par ………………………

ÉVANGILE 

lu par ……………………………

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples cette parabole :
 « Le royaume des Cieux sera comparable
à dix jeunes filles invitées à des noces,
 qui prirent leur lampe 
pour sortir à la rencontre de l’époux.
 Cinq d’entre elles étaient insouciantes,
 et cinq étaient prévoyantes :
 les insouciantes avaient pris leur lampe sans emporter d’huile,
 tandis que les prévoyantes avaient pris, avec leurs lampes,
 des flacons d’huile.
 Comme l’époux tardait,
 elles s’assoupirent toutes et s’endormirent.
 Au milieu de la nuit, il y eut un cri :
 ‘Voici l’époux ! Sortez à sa rencontre.’
 Alors toutes ces jeunes filles se réveillèrent
et se mirent à préparer leur lampe.
 Les insouciantes demandèrent aux prévoyantes :
 ‘Donnez-nous de votre huile,
car nos lampes s’éteignent.’
 Les prévoyantes leur répondirent : 
‘Jamais cela ne suffira pour nous et pour vous,
 allez plutôt chez les marchands vous en acheter.’
 Pendant qu’elles allaient en acheter, 
l’époux arriva.
 Celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces,
 et la porte fut fermée.
 Plus tard, les autres jeunes filles arrivèrent à leur tour et dirent :
 ‘Seigneur, Seigneur, ouvre-nous !’
 Il leur répondit :
 ‘Amen, je vous le dis :
 je ne vous connais pas.’
Veillez donc,
 car vous ne savez ni le jour ni l’heure. »

 – Acclamons la Parole de Dieu.

On peut laisser un moment de silence, faire un partage d’évangile, lire ou bien s’inspirer de cette méditation.

Dans la vie de chaque jour, et plus particulièrement au moment des épreuves, comme cette pandémie qui frappe le monde et d’autres difficultés de la vie, nous avons besoin de la lumière qui nous permette d’avancer. Cette lumière est en nous. C’est Jésus notre Lumière. Il nous accompagne depuis notre baptême. Si nous marchons avec lui, nous aurons toujours sa lumière en nous. Alors, demandons-Lui avec confiance de nous donner sa grâce, l’huile nécessaire dont nous avons besoin afin que chacun de nous puisse avancer dans la confiance malgré l’épreuve actuelle.

Il est peut-être important de faire silence pour laisser à chacun de regarder dans sa propre vie ce dont il a vraiment besoin pour garder allumée la lumière de la Foi, de l’Espérance et de la Charité, dans sa vie d’aujourd’hui.

Aujourd’hui, renouvelons notre confiance dans le Seigneur qui est notre Lumière et qui éclaire notre vie. Disons la Foi de l’Église, en communion avec tous ceux qui la partagent mais qui, comme nous, ne peuvent la célébrer actuellement. 

On se lève pour dire le credo.

Je crois en Dieu,
le Père tout-puissant,
créateur du ciel et de la terre ;
et en Jésus-Christ,
son Fils unique, notre Seigneur,
qui a été conçu du Saint-Esprit,
est né de la Vierge Marie,
a souffert sous Ponce Pilate,
a été crucifié,
est mort et a été enseveli,
est descendu aux enfers,
le troisième jour est ressuscité des morts,
est monté aux cieux,
est assis à la droite de Dieu le Père tout-puissant,
d’où il viendra juger les vivants et les morts.
Je crois en l’Esprit-Saint,
à la sainte Église catholique,
à la communion des saints,
à la rémission des péchés,
à la résurrection de la chair,
à la vie éternelle.
Amen.

Puis l’officiant introduit à la prière universelle en disant :
Maintenant, adressons au Seigneur notre prière pour le monde, pour l’Eglise, et pour nous-même. Ensemble, nous le supplions.

Suit la prière universelle préparée par …………………
ou prendre celle qui est proposée ici.
lue par ……………………………………………….

Après chaque intention on prend un refrain

R/ « Jésus le Christ, Lumière intérieure, na laisse pas les ténèbres me parler, Jésus le Christ,
Lumière intérieure, donne-moi d’accueillir ton amour » 

Entonné par…………

On peut laisser un temps d’intentions libres.

  • Pour que tous les membres de l’Église se mettent au service des plus pauvres, des malades, de ceux qui sont exclus et les réconfortent, les accompagnent, ensemble prions.
  • Pour que les plus riches de ce monde aient le souci de tout être humain et utilisent les progrès technologiques pour le bien commun, ensemble, avec le pape François, prions.
  • Pour tous ceux qui devaient recevoir un sacrement, une étape de foi importante, pendant ce temps de confinement (baptême, eucharistie, profession de foi, confirmation, mariage, ordination…) afin qu’ils ne perdent pas courage. Que cette privation vienne creuser en eux un désir plus intense encore de le recevoir, ensemble prions.
  • Pour la crise politique aux États-Unis d’Amérique et pour tous les pays en conflits, afin qu’aidés par la lumière du Christ, ils cherchent la paix et la justice dans l’amour, ensemble prions.
  • Pour que chacun de nous soit témoin d’espérance et se soucie de mettre en œuvre les gestes permettant de mettre fin à cette pandémie, ensemble prions.

Comme nous l’avons appris du Sauveur, et selon son commandement, nous osons dire :

Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen

L’officiant peur dire : Nous ne pouvons pas recevoir aujourd’hui la Sainte communion. Mais Jésus, lui, peut venir en nous, et faire de notre âme sa demeure. Faisons ensemble un acte de communion spirituelle. Par humilité, suppliant le Seigneur, nous pouvons nous mettre à genoux. Après un moment de silence, il poursuit.

« Seigneur Jésus, je crois fermement que Tu es présent dans le Saint Sacrement de l’Eucharistie. Je T’aime plus que tout et je Te désire de toute mon âme. « Après toi languit ma chair comme une terre assoiffée » (psaume 62).

Je voudrais Te recevoir aujourd’hui avec tout l’amour de la Vierge Marie, avec la joie et la ferveur des saints.

Puisque je suis empêché de Te recevoir sacramentellement, viens au moins spirituellement visiter mon âme.

En ce temps de carême, que ce jeûne eucharistique auquel je suis contraint me fasse communier à Tes souffrances et surtout, au sentiment d’abandon que Tu as éprouvé sur la Croix lorsque Tu t’es écrié : « Mon Dieu, mon Dieu pourquoi m’as-tu abandonné ».

Que ce jeûne sacramentel me fasse communier aux sentiments de Ta Très Sainte Mère et de Saint Joseph quand ils T’ont perdu au temple de Jérusalem, aux sentiments de Ta Sainte mère quand elle Te reçut, sans vie, au pied de la Croix.

Que ce jeûne eucharistique me fasse communier aux souffrances de Ton Corps mystique, l’Église, partout dans le monde où les persécutions, ou l’absence de prêtres, font obstacle à toute vie sacramentelle.

Que ce jeûne sacramentel me fasse comprendre que l’Eucharistie est un don surabondant de Ton amour et pas un dû en vue de mon confort spirituel.

Que ce jeûne eucharistique soit une réparation pour toutes les fois où je T’ai reçu dans un cœur mal préparé, avec tiédeur, avec indifférence, sans amour et sans action de grâce.

Que ce jeûne sacramentel creuse toujours davantage ma faim de Te recevoir réellement et substantiellement avec Ton corps, Ton sang, Ton âme et Ta divinité lorsque les circonstances me le permettront.

Et d’ici là, Seigneur Jésus, viens nous visiter spirituellement par Ta grâce pour nous fortifier dans nos épreuves.
Maranatha, viens Seigneur Jésus. »

Après l’acte de communion spirituelle, on peut prendre un chant d’action de grâce, de louange, ou de confiance (on peut choisir parmi les suivants), entonné par………………..

  • Je veux chanter ton amour, ici
  • Mon âme bénis le Seigneur, ici
  • Mon Père je m’abandonne à toi, ici

L’officiant finit par cette oraison.

Prions : Fortifiés par cette célébration en ce jour qui t’est consacré, nous t’adressons Seigneur nos actions de grâce et nous implorons ta miséricorde : que l’Esprit Saint nous aide à garder allumée la flamme de notre foi et d’en témoigner chaque jour. Par Jésus le Christ, Notre Seigneur. Amen.

Puis l’officiant conclut la célébration en invitant toute la famille à faire un signe de croix.

Puis il dit :
Bénissons le Seigneur.
Nous rendons grâce à Dieu.

On chante enfin le chant à la Sainte Vierge, par exemple :

  • Couronnée d’étoiles, ici
  • Regarde l’étoile, ici
  • Je vous salue Marie Angelus, ici



 

 


Actualité publiée le 6 novembre 2020

 

 

 

 

Voici le lien du diocèse pour participer à

la quête en ligne :


DONNER À L’ÉGLISE

 

 

Peut-on se confesser ?

Renseignez-vous auprès de votre paroisse pour connaître les possibilités et les modalités de confession. Durant le premier confinement, les prêtres n’ont pas manqué d’imagination afin de donner le sacrement de Réconciliation !

Si les confessions ne sont pas prévues dans votre paroisse, rappelez-vous ce que le pape François avait déclaré, lors de son homélie du 20 mars dernier : « Si tu ne trouves pas un prêtre pour te confesser, parle à Dieu, il est ton père, et dis-lui la vérité : « Seigneur, j’ai fait ceci, cela, cela … Pardonne-moi  », et demande-lui pardon de tout mon cœur, avec l’Acte de contrition et promets-lui : « Je me confesserai plus tard, mais pardonne-moi maintenant  ». Et immédiatement, vous reviendrez à la grâce de Dieu. Vous pouvez vous-même approcher, comme le Catéchisme nous l’enseigne, le pardon de Dieu sans avoir un prêtre à portée de main. Pensez-y : c’est le moment ! Et c’est le bon moment, le moment opportun. Un acte douloureux bien fait, mais qui fera que notre âme deviendra blanche comme neige ».