Dimanche 4 juin, fête de la Sainte-Trinité !

Avec le service diocésain de la diaconie et ATD Quart monde

Dimanche 4 juin, fête de la Sainte-Trinité !

Ce dimanche 4 juin, immédiatement après le dimanche de Pentecôte, nous célébrons la fête de la Sainte-Trinité.

Pour nous aider à comprendre le sens de cette réalité mystérieuse d’un seul Dieu dans l’unité d’amour de trois personnes distinctes, égales et indivisibles, le Père, le Fils, l’Esprit, nous avons demandé à des chrétiens de Bonne Nouvelle Quart Monde comment elles percevaient ce mystère. Voici ce qu’elles nous ont répondu :

 

« Dans la Trinité, il se dégage une très grande pureté, une très grande bonté, entre eux mais envers les autres aussi, surtout envers les autres. Et il y a la pureté aussi. Chaque personnage apporte quelque chose aux autres, il regardent les autres avec amour, ils se complètent.  »

« Quand on parle de la bonté, de la bienveillance, de la douceur, de la maîtrise de soi, ça correspond aux anges. Quand on a le Saint-Esprit, on est comme ça. On est en paix avec soi-même. »

« Moi, ce qui me touche, c’est puisque l’Esprit nous fait vivre, nous marchons sous la conduite de l’Esprit. Ça me touche parce que chaque fois que je me lève, je dors, je subis des choses qui sont très dures dans la journée ou le soir, je sens l’Esprit, je me dis : "Seigneur, je veux que ton Esprit soit là pour que je marche". Puisque l’Esprit nous fait marcher. Moi c’est le Seigneur qui me fait marcher, me fait lever.  »

« Quand on partage, c’est un peu comme dans la trinité. On est tous autour de la table pour partager, moi ça me fait penser un peu à ça. Là aussi voir le fruit de l’Esprit : l’amour, la paix, tout ça. Ça me fait penser à ça : eux, ils partageaient tout. »

« Ils sont ensemble tous les trois, la Trinité. Pour moi, ils montrent qu’on peut partager entre nous, même quand il y a un tout petit peu, on peut toujours se débrouiller, et qu’avec pas grand-chose on peut partager avec d’autres.  »
 

Au nom du père...

« Dieu m’a sauvé la vie alors depuis Il est là. Je l’ai témoigné, il y a quelque temps. C’est un peu compliqué. Disons que j’ai failli mourir après la naissance de ma fille, j’ai eu une phlébite et j ai failli faire une embolie pulmonaire. Ma fille avait trois semaines et je l’ai revue que trois mois après, entre temps j’étais aux soins intensifs en cardio à Rangueil et un aumônier est venu à l’hôpital. Il m’a donné un papier et il m’a dit que c’était un texte d’Évangile où il était marqué "lève toi et marche’". A ce moment-là, je ne pouvais pas du tout marcher et je me suis dit, je prépare mon baptême. Une époque où je préparais mon baptême, pendant la période du catéchuménat, je suis tombée enceinte et après j’ai eu ce problème-là. Donc pendant longtemps, longtemps j’ai cru tellement à Jésus, Il m’a sauvé la vie ce jour-là parce qu’ils m’ont dit, vous avez évité l’opération à cœur ouvert, et j’aurais pas pu m’en sortir ce jour-là et je remercie et je crois que c’est depuis ce jour-là que Dieu m’a sauvé la vie. Et je lui dois tout. »
 

Et du fils...

« Jésus, il est parmi nous, on est tous réunis alors Il est là. Dans les évangiles, Il disait quand vous êtes quelques-uns à parler entre vous, Il est là. C’est vrai moi je sens sa présence même si je ne le vois pas, je ne l’entends pas, mais moi j’ai toujours l’impression qu’Il est là. Bon, Il a beau être invisible, moi je crois en sa présence. »

 

Et du Saint Esprit !

« On a tous l’Esprit Saint sur nous. Quand tu vois tous les sourires, tout le monde sourit, alors l’Esprit Saint, Il est sur nous.  »