Présence discrète.

Dans le quartier des Izards, d’autres quartiers de Toulouse ou dans des villages, la solidarité a fait bouger beaucoup de monde.

Le 28 Septembre, après les logements provisoires pour des familles syriennes, leurs enfants ont été accueillis dans diverses écoles : Borderouge et environs. Par solidarité, des représentants de la mairie, Alain de l’association « Spirale », moi-même avons accompagné ces enfants avec leurs parents. Ils ont été admis à leur arrivée dans différentes classes, heureux d’être dans des écoles, au milieu d’autres enfants, eux venant d’un autre monde.

Les gestes de solidarité et de paix, que l’on soit croyants, non croyants ou de bonne volonté n’ont pas de prix. Cela montre qu’il n’y a pas de frontières. Ce qui se vit par le monde politique, les associations diverses, cela se prouve aux Izards : le Secours populaire, le Secours catholique, la Croix Rouge, la communauté des sœurs, le secteur paroissial des Minimes et autres encore ont bougé. Il faut continuer dans ces moments graves de trouver des solutions justes et dignes pour faire face à ces réalités humaines auprès des personnes plutôt que d’avoir une culture du rejet.

Tout possible est humain et ouvre les cœurs et donne de la Joie au monde.

Père Georges Boyer

 


Actualité publiée le 10 octobre 2015