Une théologie à l’école des plus pauvres

Qu’est-ce qui fait vivre encore quand tout s’écroule ?

 

Notre commentaire.

Et si les personnes marquées par la misère étaient également, à leur manière, des explorateurs de l’Evangile ? Et à ce titre capable de revigorer l’intelligence de la Foi ?

A partir d’écoutes et d’analyses croisées de récits de vie de personnes en grande difficulté, les auteurs- un collectif de dix religieux et laïcs- nous livrent ces regards « autres » sur des questions classiques de la théologie : les liens qui font vivre , le pardon, le salut et tout particulièrement l’espérance , si improbable a priori venant de ces « Job de naissance » !

On ne sort pas indemne de cette lecture. On ne peut qu’être émerveillé par ces jaillissements de Foi, et interpellé par leurs formulations inédites comme « Quand on est là tous ensemble, on est en vie éternelle » ou « Dieu, Il est obligé de pardonner ».

Le commentaire de l’éditeur.

Genèse de l’ouvrage  : Une équipe de théologiens et d’acteurs de terrain a fait le pari que l’expérience des femmes et des hommes en grande précarité pouvait être précieuse pour l’ensemble des chrétiens.

 

Points forts :

  • La mise en lumière des ressorts et points d’appui sur lesquels s’accrocher lorsque tout se dérobe dans nos vies.
  • Une lecture attentive de paroles de personnes marquées par la misère qui invite à revisiter les questions cruciales de l’espérance, du salut, du pardon et de ce qui fait véritablement vivre.
  • Une manière de penser, à l’école des pauvres, pour l’Église et tous les chrétiens.

 

Public intéressé par la théologie pratique et l’expérience de la précarité.

 


Actualité publiée le 15 mai 2017