Les Droits Humains ne sont jamais totalement acquis et l’actualité internationale nous en offre son triste spectacle.
Le défi à relever pour tout militant des Droits Humains est immense.
Sur cette toile de fond problématique, quelle place l’art cinématographique peut-il occuper dans une démarche progressiste ?
Citons les mots du Président de la Confédération Helvétique, qui déclarait, à l’ouverture du Festival Cinéma Droits Humains à Genève en 2018 : « On dit du cinéma qu’il est une usine à rêves. Pourquoi ne fonctionnerait-il pas comme une fabrique à libertés, si l’on s’en tient à la racine du mot réalisateur, à savoir qui rend les choses réelles. » C’est ce que propose cette 16e édition du Festival Cinéma et Droits de l’Homme (FCDH) : deux semaines (du samedi 7 au dimanche 22 janvier 2023) de projections, de partage, de discussions, de débats, d’indignation et de mobilisations autour de nos grands sujets de préoccupation, sans oublier aussi de mettre en lumière les valeurs humaines et l’entraide. Dans ce cadre, 15 films sélectionnés par sept organisations de solidarité internationale (Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture (ACAT), Amnesty International, Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement-Terre Solidaire, École des droits humains et de la terre, Les Amis du Monde Diplomatique, Médecins du Monde, Médecins Sans Frontières) sont mis à l’affiche et traitent de sujets divers. Leurs projections seront suivies de débats menés par des spécialistes des sujets traités.
Ces séances sont ouvertes à toutes et à tous, à Toulouse et en région Occitanie.

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L’émission "Vivante église" de Radio présence a invité Françoise Laborde (CCFD), Slavko Petryzyn (Amnesty) et Alain Gleizes (ACAT) pour en parler. Pour réécouter l’émission cliquez ICI