«  Nous l’aimons, car elle mit de grandes intentions à faire de petites choses  !  »

Depuis la béatification de Germaine en 1854 les pèlerins se pressent très nombreux à Pibrac.
Après la canonisation en 1867, l’affluence est telle que l’église paroissiale est trop exiguë.
La construction d’un autre édifice plus grand s’impose.
En 1901, Mgr Germain, archevêque de Toulouse, pose la première pierre d’un monument de style romano-byzantin, d’après les plans de M. Esquié, architecte toulousain, grand prix de Rome.
Le chantier est arrêté en raison des deux guerres par manque de main-d’œuvre et de finances. Il reprend en 1958 après que le projet initial a été simplifié.
En 1967, 100 ans après la canonisation de Germaine Cousin, l’église Sainte-Germaine est enfin terminée et consacrée le 15 juin, par Mgr Sabin Saint-Gaudens, évêque auxiliaire de Toulouse.
En 2010, le pape Benoît XVI l’élève au rang de basilique mineure, la quatrième du diocèse.
En 2011, une plaque commémorative est solennellement dévoilée par Mgr Robert Le Gall, archevêque de Toulouse.
En 2017, des amis de sainte Germaine offrent à la basilique Sainte-Germaine de Pibrac les insignes propres aux basiliques : le pavillon et le tintinabulum.