Une fleur pour la Palestine : une association au service des écoles catholiques de Palestine

Une fleur pour la Palestine : une association au service des écoles catholiques de Palestine

Une fleur pour la Palestine

 

Avec Mgr Sabbah, alors Patriarche Latin de Jérusalem, et depuis un pèlerinage en Terre Sainte en septembre 2002, des chrétiens toulousains ont pris conscience de la vie difficile des chrétiens dans le conflit Israélo-Palestinien. Entraînés par l’Abbé Guy Chautard, ils ont pensé que la meilleure chose à faire était de créer une association qui aide le fonctionnement des écoles catholiques de Palestine. En effet, ces écoles sont d’un très bon niveau scolaire, elles diffusent des valeurs de respect de la personne humaine, et en accueillant autant d’élèves musulmans que chrétiens, elles sont un lieu d’apprentissage du vivre-ensemble. Mais ces écoles ne vivent que par les cotisations des familles, dont beaucoup des parents sont sans travail, à cause de la situation politique bloquée en Palestine. Les pèlerins fondateurs ont choisi d’envoyer des bourses scolaires de 300 euros aux écoles, pour des élèves choisis par la direction de chaque école.


L’action principale de " Une fleur pour la Palestine " est donc la prise en charge des frais de scolarité d’élèves de familles démunies dans des écoles catholiques de Cisjordanie et de Gaza : 133 bourses pour l’année scolaire 2023-2024 dans 12 écoles, de Zababdeh au nord jusqu’à Gaza au sud, en passant par Naplouse, Aboud, Jifna, Bir Zeit, Taybeh, Ramallah, Bethléem, Beit Jala et Beit Sahour. Les bourses sont envoyées par virement bancaire directement sur le compte bancaire de chaque école. Nous appelons nos bourses des " fleurs ". Le centre de la fleur est l’élève en Palestine, les pétales sont les donateurs. On peut participer soit pour une bourse entière, soit pour une partie. Les parrainages sont personnalisés : on vous fait connaître le nom de l’élève et son école.

Moralement, notre action a un effet très positif sur les familles, les équipes administratives, techniques et enseignantes des écoles. Tous sont heureux de savoir qu’on pense à eux chez nous, cela leur donne du courage. Les catholiques du pays de Jésus vivent de telles difficultés qu’ils ont besoin de savoir que le reste de l’Église ne les oublie pas.


Pour plus d’informations, cliquez-ici.

 


Actualité publiée le 19 février 2024